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 Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer

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Maitre Chêne
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Maitre Chêne


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MessageSujet: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeJeu 12 Jan - 13:23

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Lebelum

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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeDim 14 Mai - 15:05

La Guerre de Succession du Val, Chênes-en-fer (point de vue nordien)

Ce fut une bien belle journée pour les forces nordiennes pro-Arryn, en effet au petit matin l'armée dirigé par Ambel Arryn, Rodrik Stark, Osric Omble et Cedrik Corbois se présentait face aux forces des rebelles Royces et de leurs alliés, une armée de renforts avait d'ailleurs débarquée la veille; ce second camp était confiant, il avait en effet choisi le lieu de la bataille à son avantage et une armée qui compensait une légère infériorité numérique avec la présence d'une puissante cavalerie lourde. "Comment pourrait-on perdre ?" se demandait-ils, le soucis étant que le premier camp avait choisi le lieu du combat et les autres paramètres de celui-ci, quand à la cavalerie lourde un plan était déjà prêt pour s'en débarasser.
Ainsi les armées se mirent en formation, chaque corps prit place, chaque commandant rejoignit son affectation. Le temps était bien nuageux. Les nordiens étaient détendus et peu pressé pour une fois, mais c'était sans compter sur la nervosité des ennemis...
Et la bataille débuta ainsi, les forces Sunderland chargèrent le flanc droit commandé par Corbois et dans un grand fracas les reitres de chaque camp se mirent à s'entre tuer tandis que leur cavalerie tenta de déborder les nordiens qui avaient laissés un énorme trou sur leur flanc, mais quel piètre stratège il faut être pour penser les Ours si stupide; alors que les sergents montés Royce allaient pénétrer la zone brousailleuse les forces de Reed se révélèrent et mitraillèrent la cavalerie ennemie avant qu'un sanglant corps à corps ne s'engage, néanmoins les hommes du Neck furent mit en difficulté et Cedrik parti à leur rescousse à la tête de 500 hommes d'armes de Corbois. Arrivé aux broussailles Cedrik hurla "les Reeds sont en mauvaise posture, allons les sauvers les gars et morts à nos ennemis !" et les corbois chargèrent les cavaliers adverses tandis que le Borgne et quelques hommes se frayèrent un chemin dans la mêlée jusqu'à Robert Reed, mais à peine ils furent réunis les ennemis se replièrent, ne pouvant soutenir le choc. Alors ils s'échangèrent quelques politesse avant que Corbois et ces hommes ne retournent au pas de course dans leur position initiale car, loin vers le centre, un vaste nuage de poussière apparut.

Armond Karstark était le commandant de la cavalerie et devait rester en réserve, mais il décida d'aller en première ligne avec la petite troupe de reitres montés qui avait pour but de stopper la charge Royce; il ne pouvait tout simplement pas laissé ces pauvres âmes seules. C'est alors que le moment tant attendu arriva, les chevaliers faucons chargeaient.
"Tenez bon soldats, vous êtes ici pour protéger vos camarades ! La situation est simple, soit nous mourrons soit nous les condamnons à mort ! Je ne sais pas vous, mais moi j'ai déjà fais mon choix." alors Armond dégaina son épée et se tourna vers les chevaliers qui les chargeaient, soupira une dernière prière et décéda avec ses braves hommes.
Du point de vue d'Arryn cela était un mal nécessaire et de sa position excentré il put observé la charge des chevaliers faucons se faire oblitérer par ces quelques péons, à présent ils progressaient désunis vers les différentes positions nordiennes et s'écrasent sur les murs de boucliers.
Alors Cedrik revient en position et trouva ses reitres hésitants, il forma alors une ligne avec ses réguliers pour empêcher toute retraite; ainsi les reitres commencèrent à refluer mais se firent bloquer par la ligne, un groupe tenta alors de s'en prendre au Borgne lui même et s'élancèrent avec leurs armes contre lui, ce dernier fit signe à ses hommes de rester en place et s'avança vers les quelques mutins, volèrent alors 3 bras, 1 jambes et 2 têtes. Corbois hurla une nouvelle fois à ses hommes de se battre, ceux-cis firent volte face et se battèrent encore plus hardemment contre les Sunderland, alors les Sunderlands entrèrent en déroute.

Le combat durait depuis un certains temps et seul le flanc Corbois et Reed avait réellement vu de l'action, et les deux armées se retrouvèrent dans une phase de reformation et préparation au combat final alors que les Royce avancent au pas rapide dans la plaine vers les lignes Stark et que les Corbois grimpent sur les flancs de ces derniers.
A ce moment précis l'oeil de faucon d'Ambel prit forme, une faille se trouvait dans la formation ennemie: il plaça Rodrik à la tête de la cavalerie lourde nordienne, sans commandant depuis la mort d'Armond Karstark, et lui demanda de charger le flanc ennemi, délaissé de toute protection. Alors Rodrik Stark prit place à la pointe de la cavalerie, dégaina Glace, fit sonner le cors et chargea dans toute sa fureur et sa puissance tandis qu'a pieds Osric Omble faisait de même, Harmond en ses mains et l'infanterie lourde nordienne derrière lui.
Nul ne peut décrire, ne serait que concevoir la violence du choc qui était et est toujours à un niveau non-atteint: les soldats Royces apprirent à voler, éphémèrement, et les piétons faisaient autant si ce n'est plus de dégâts que les cavaliers.
Rodrik Stark découpait, Osric Omble tranchait et Cedrik Corbois dévalait le flanc gauche Royce à la tête de ses hommes d'armes afin de bloquer à l'ennemi la retraite et l'espoir.
C'est alors que Donnel Royce, à la tête des quelques chevaliers faucons restants, chargea droit sur la cavalerie nordienne et tandis que ses hommes attaquaient les chevaliers lui chargeait Rodrik; il l'avait presque atteint, dans son flanc, lorsque Jon Flint le vit et hurla à Rodrik qu'il approchait, l'Ours se retourna et eut à peine le temps de parer l'épée de son adversaire mais la force de ce petit contact suffit à les faire tomber tout deux de cheval, Jon tenta d'intervenir mais fut engagé par d'autres chevaliers: cela allait se régler en duel, Rodrik Stark contre Donnel Royce. Les deux guerriers s'entre attaquèrent et combattirent avec grande agilité tandis qu'autour d'eux le carnage continuait, les coups et les parades fusaient depuis un certains temps lorsque Donnel, visiblement épuisé, chargea une énième fois Rodrik mais cette fois-ci le Stark saisit le pommeau de l'épée de Royce avec sa main gauche, ils se regardèrent dans les yeux et Rodrik dit "Ce combat est terminé." avant de le couper en deux au niveau du bassin d'un coup sec. Rodrik s'essuyait le visage après son aspersion par le sang de Donnel quand Osric arriva tranquillement, l'armure plus rouge que son blason, ainsi que Cedrik, dont c'est le visage qui était rouge d'épuisement, et Ambel, qui était lui tout impeccable; les 4 hommes se regardèrent un instant avant qu'un fou rire ne les prennent lorsque Jon Flint glissa et failli tomber dans les entrailles de Donnel Royce... oui, ces nordiens ne sont pas connus pour leur finesse.

Ainsi se termina la bataille, l'armée Royce avait été massacrée et ses débris fuyaient tandis que les nordiens n'avaient subis que des pertes superficielles.

Ce fut une bien belle journée pour le Nord et les Arryn, mais il reste désormais à traiter le problème Tully, celui ci est opposé à toute négociation et les Frey assurent ne pas cautionner cet intervention allant à l'encontre des accord passés 3 mois plus tôt.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:45

par DorianGray » il y a un an
Phase 1 de la bataille :

La cavalerie Stark lance une charge contre les archers longs dirigés par Reyne. Ceux ci ont disposés des pieux de bois partout sur le terrain ; les chevaliers Stark pensaient faire une feinte, contourner leur adversaire, pour ensuite le prendre de dos, car la cavalerie ennemie devait prendre la fuite, alliée aux Stark. Mais c'était une tromperie, les archers simulèrent la fuite et délivrèrent une pluie de carreaux et de flèches sur les chevaliers Stark, avant de se faire charger par la même cavalerie qui devait fuir. En l'espace de cinq minutes, la chevalerie du Nord se fit réduire à néant.

Le reste de l'armée continuait malgré tout son avancée vers les lignes défensives du Conflans. Malheureusement pour eux, les archers ennemis faisaient un carnage, forçant les forces Corbois et Omble à presser le pas pour charger leur adversaire. A droite, c'est un mur de pique, de vougues, de hallebardes et de lances qui les acceuilli ; à gauche, suite à une formation audacieuse, la cavalerie traversera les rangs de ses propres hommes pour frapper de plein fouets les Corbois dans une contre charge destructrice ; profitant de la dissolution de la formation Corbois, le reste des troupes remplaça la cavalerie (qui se retirait alors) et chargea. Au centre, l'infanterie lourde Stark avait la supériorité, et malgré un feu nourri préalable, le mur de bouclier Tully tint bon, grâce à l'usage de boucliers-tours et de rondache en grand nombre. Dès lors que le combat s'était engagé partout, et malgré des tentatives de la part d'Ambel Arryn et de Cédrick Corbois, il était impossible d'empêcher la cavalerie de harceler et entourer les forces ennemies, malgré une légère supériorité Stark au centre et sur le flanc droit. Très vite, le combat tourna en la faveur de Tully, qui entourait son adversaire et le massacrait par des harcèlements constant, jusqu'à que ceux ci prennent la fuite.

On peut analyser ici une triple victoire Tully :
- Sur le plan politique, la trahison et la manigance Frey assura au camp du Conflans la connaissance du plan adverse pour mieux le contrer, résultant en l'annihilation de la cavalerie lourde Stark.
- Sur le plan tactique, l'usage audacieux de la cavalerie légère et de la formation Lansquenet de l'infanterie assura de compenser le désavantage d'infanterie subit par le camp Tully, qui avait quatre fois plus de cavaliers et deux fois plus d'archers. Sans compter les nombreuses techniques améliorant la mobilité des cavaliers, même au sein de leurs propres troupes.
- Sur le plan technologique, plusieurs armements d'importance : L'arc long, le bouclier tour, la lance de dix pieds, le bouclier goutte d'eau, et l'équipement régulier de la cavalerie légère.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:46

par Glasnost » il y a un an
Edit de loi


Par édit du Maître des Lois, avec signature du Roi, aucune armée n'est autorisée à s'approcher à moins de 40 lieues de la capitale si ce n'est sous la demande exclusive du Roi, et ce sans avoir été faire requête au roi au préalable, afin d'éviter toute tentative de chantage armé. Cette clause exclue bien évidement la Justice du Roi et ses hommes ; actuellement, il s'agit d'Allaric Whent, tout juste nommé.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:46

par DorianGray » il y a un an
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La guerre dans le Val prit un tournant surprenant avec une fin brusque. Le dernier affrontement se joua dans les plaines des champs de Fer, contemplés par le Mont du Nid du Faucon. Les forces Stark, malgré une lutte acharnée et de brillantes victoire à Chêne-en-fer, Roche-aux-runes et Goeville, ont été vaincue par l'armée Tully de manière écrasante, la tactique ayant vaincu la force brute. L'ost Stark était pourtant célèbre pour les éminents membres qui le dirigeait, passant pour la meilleure armée du continent ; Le stratège Ambel Arryn, les Trois Ours et le Faucon, en somme, mais aussi le surprenant Uther Manderly. La défaite du Nid du Faucon fut une surprise sans pareille, Ambel ayant trouvé un stratège avec qui il ne pouvait rivaliser, Harwyn Tully (RAPPEL : Le résumé de la bataille est à moitié HRP).
La victoire, outre ses conséquences politiques, assied définitivement la réputation d'Harwyn Tully et de ses officiers. Son armée semi-professionnelle s'est faite un nom en gagnant politiquement et militairement toutes ses batailles ; notamment le siège de Cordial, un des plus courts de l'histoire, le château tombant en quelques heures par des subterfuges inconnus. Le mystère entourant les progrès dans l'art de la guerre du Conflans améliorent grandement leur réputation, et la bataille du Nid du Faucon restera longuement dans les mémoires, louant tout autant les vainqueurs que les perdants. La campagne du Val aura fait cinq fois plus de morts Stark que Tully, et les avancées technologiques de la faction y sont sans doute pour quelque chose. Nombre des grands militaires des Sept Couronnes tournent désormais leurs yeux vers les protagonistes du conflit, espérant en apprendre un peu plus sur l'art de la guerre.

Image

La victoire consommée marqua la fin des affrontements, malgré des mouvements de troupes importants dans le reste du Royaume, notamment les forces conjointes Martell-Rowan ayant fait jonction à Chutebourg, ainsi que d'importante forces Lannister à l'Ouest, et Royales dans les Terres de la Couronne, qui se sont levées pour des raisons probablement liées à la surprenante victoire Tully. La situation semble cependant calmée, les Frey, Stark et Royce ayant engagés des négociations sous l'oeil attentif de la Main du Roi. Il est peu probable qu'un affrontement éclate à nouveau, car malgré quelques soutiens persistants aux Royce et une force Stark loin d'être écrasée, la victoire a marqué les esprits, et nombre de maisons déclarèrent subitement leur allégeance à Celia Arryn. Les conséquences semblent tournées vers la reconstruction, qui sera supervisée par la régence de la même Celia, nouvelle suzeraine de la région, et ce jusqu'à qu'elle se marrie. Corbray, Royce et Vanbois, mais aussi Nordiens, semblent promis à un lourd tribut ainsi qu'à l'envoie d'otages de marque envers les vainqueurs, mais ont acceptés diligemment les conséquences de leur acte ; Goeville a été endommagée, une partie de l'est du pays fut victime de nombreux razzias, Roches aux Runes et Cordial furent démolies et leur population massacrée, il est temps de réparer les dégâts de la guerre, son sort décidé. Harwyn Tully a d’ors et déjà annoncé un aide économique du Conflans, et un soutien technologique de la guilde des ingénieurs, afin de faire renaître l'activité économique et agricole de la région. Il appartiendra bien sur à la suzeraine ou aux autres acteurs du conflit de faire entendre les conditions de la reconstruction au grand monde.


D'autres nouvelles de moins grande importances, notamment la construction d'un Septuaire gigantesque à Port Lannis, oeuvre d'art annoncé par le suzerain Lannister, déjà fortement aimé pour ses dons au peuple aussi bien qu'aux nobles, qui a su faire de son nom synonyme de bonté et générosité, le projet mettant dans sa poche l'intégralité du clergé des Sept Couronnes.
On note également le début de la fin de l'immense projet de construction à Port Réal, un port militaire d'envergure ayant été bâti sur l'autre rive de la Néra ; celui ci sera équipe d'arsenaux pour la construction de navires, d'un poste de garnison et de murailles extérieures pour le protéger des attaques ; le projet devra asseoir la domination des mers de la famille Targaryen, venant ajouter à la prestigieuse flotte de Peyredragon une nouvelle force militaire navale.
La santé économique croissante du royaume, source d'une ère prolongée de paix dans les dernières décennies, est désormais marquée par le nombre énorme de réformes et améliorations tant économiques que technologiques ; si cet état de fait venait à perdurer, il est très probable que Westeros connaisse un nouvel âge d'or, comme il en a systématiquement connu dans de telles conditions ; il ne nous reste qu'à espérer que l'été se prolonge encore quelques années, ou soit suivi d'un hiver moins rude que d’ordinaire.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:47

par yarduoc » il y a un an
RP du tournoi : Tarek Qorgyle


Le brouhaha à l'extérieur de la tente était devenu plus fort à mesure que le tournoi approchait... Les différents lords et chevaliers inscrits au tournoi se préparaient pour leur entrée en lice... Lord Tarek avait pris place avec les autres seigneurs de Dorne qui participaient au tournoi. Les cours sonnerent alors, annonçant le début des festivités royales. Les Premiers combats se deroulerent sans problème jusqu'à l'entrée en lice de la famille tully. En deux combats la famille tua un chevalier et en défgura un autre. Le lord du désert espérait tomber sur eux le plus tard possible. Peu après vint son tour de jeu.Il monta sur le destrier de joute prêté par sa suzeraine et sentit l'adrénaline monter. Tarek se dirigea vers la lice royale et pris place de son côté, toisant son adversaire de l'autre côté. Au don du cor il s'élanca et son premier coup fit mouche sans pour autant déstabiliser son adversaire. Il se concentra de nouveau visant le casque de son ennemi. Lorsqu'il arriva au contact de son adversaire il sentit sa lance pénétrer dans le casque de son adversaire. Il avait fait mouche et son adversaire se retrouvait dorénavant au sol, une lance sortant de son casque. Après vérification lord Terrence Leford était encore en vie mais se retrouvait dorénavant violemment eborgné du côté droit. Tarek ressortit sa lance et la fit essuyer des divers fluides du lord de l'ouest qui la tachait. Les spectateurs l'applaudissaient et ettonemment il trouvait cela très plaisant. Ainsi, se disait il, il n'était pas efficace que dans les murmures et les ombres mais aussi dans la lumière d'un spectacle martial. D'autres combats se succédèrent ensuite. Lord Rowan posa définitivement sa supériorité dans le nord en mettant au tapis en un coup Tyrell. Torrent comble fut blessé. Le mort suivant vint des mains de lord Whent : décidemment les hommes du conflans étaient mortels lors de ce tournoi. Il y eut encore deux estropies par evelyne rowan et trud martell puis ce fut de nouveau le tour de lord qorgyle. Il avait gagné son combat précédent grâce à sa precision et il comptait de nouveau s'y fier. Lors du premier tour lord Tarek visa directement les interstices de l'armure de son opposant et en un seul coup sa lance se planta à travers l'armure de son adversaire. Lord Stannis Gouer était encore en vie mais lui aussi mettrait des année si même un jour il récupérait de ses blessures. Tarek venait d'estropier deux adversaires en deux combats et espérait que cela destabiliserait son prochain adversaire. Il y eut encore un mort causé par le conflans incarné en lord Frey, enfin même si le bougre de chevalier errand n'était pas mort mais vu l'état de ses blessures il ne passerait pas la nuit. Le public eût ensuite droit à un spectacle impressionnant lors du combat entre Evelyne Rowan et Edmure Tully. Vint encore le tour de lord Qorgyle qui devait affronter un lord de l'orage. Le combat était serré sur les premiers tours et alors le lord Dornien visa comme il en avais l'habitude les points faibles de son adversaire. Cette fois ci il ne pénétra pas l'armure de son opposant mais il sentit son adversaire tomber de son destrier. C'est à ce moment où il sentait sa troisième victoire comme acquise qu'il compris à la douleur qui irradiait dans son bras que l'adversaire aussi l'avais touché et qu'il était en train de perdre l'équilibre. En un instant les deux combattants se retrouvèrent immobilisés au sol. L'assemblée et les seigneurs présents restaient perplexes sur cet apparent ex aequo... Il fut décidé qu'une deuxième joute serait organisée mais lord Tarek était encore sonné par cette chute et malgré tous ses Efforts il retrouva l'étreinte du sol de la lice quelques minutes plus tard. Au moins avait il offert du spectacle et du sang au peuple de port réal pour trois tours et il n'avait aucun regrets quand à sa participation. Il se fit desequiper et assista à la fin du tournoi. Les derniers combats furent spectaculaires mais c'est sans surprise que les deux favoris de ce tournoi, Harwyn et Tytos tully s'affronterent en finale. A les voir Tarek ne regrettait pas de s'être fait éliminer avant de se retrouver face à l'un d'eux, préférant rentrer chez lui sans honneurs que dans une boite en sapin.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:47

par Zannen » il y a 10 mois
RP tours 9/10 : Tytos Lannister, héritier de Castral-Roc.


Il était encore tôt lorsque Tytos fit ses adieux à sa jeune épouse avant d'aller dans la cour trouver son cheval, et l'enfourcha pour ensuite prendre place au côté de son père. Il remarqua immédiatement la mine renfrognée de celui-ci. Enfin, il était probablement le seul présent a l'avoir constaté, car il était toujours difficile de savoir ce que pensait ce fier Lord. Mais depuis quelques temps ce dernier avait décidé de prendre son fils sous sa tutelle afin de combler ce qui lui semblait être certaines lacunes de Tytos, et le jeune homme semblait avoir appris par la même occasion à mieux comprendre Tywald et à le trouver plus humain que lorsqu'il était enfant. Ce sentiment était encore une fois renforcé puisqu'il savait la raison qui le rendait si contrarié. Lanna, mère de Tytos et femme de Tywald, était enceinte depuis plusieurs mois déjà, et si celle-ci semblait être en parfaite santé, elle se nourrissait bien trop peu pour son propre bien. Le mestre avait d'ailleurs partagé ses inquiétudes avec son Lord la veille, et Tytos avait bien cru qu'il se rendrait encore à un mariage en étant le seul représentant Lannister. Mais Lanna avait du être, une fois de plus, persuasive avec son époux pour que celui-ci soit prêt à partir. Il ne tarda d'ailleurs pas à donner le signal de départ lorsque Tytos l'eut rejoint.
Quelques chevaliers des grandes maisons de la région les accompagnaient, prêt à défendre l'honneur de la maison Lannister lors du Grand Tournoi Royal organisé à l'occasion des noces royales.

Si le trajet se déroulait sans encombre, Tytos fut vite mit mal à l'aise. Il y avait toujours une foule pour les observé avec adulation chaque fois qu'ils passaient près d'un village, et le jeune homme n'était pas habitué à tant d'adoration. Même les hommes qui les accompagnait se comportaient et s'adressaient à lui ou à leur Lord avec beaucoup d'admiration. Tywald, en revanche, ne laissai paraître aucune réaction face à leur attitude. Mais Tytos savait que son père, comme tous les hommes, était susceptible à la flatterie. Les travaux et réformes entrepris par Tywald ainsi que la victoire de leur allié Tully avait contribué à cette adulation, et Tytos avait conscience que son père avait encore beaucoup de ressources, il avait donc intérêt à vite s'habituer à être le centre d'attention et d'admiration.

La délagation Lannister arriva à Port-Réal plusieurs jours en avance, mais déjà la ville grouillait de monde. L'agitation était à son comble. Ce mariage semblait tout aussi bien convenir au peuple qu'aux plus nobles. Les hommes prirent leur temps à s'installer, et Tytos pu constater qu'ils étaient dans les premiers à se présenter au Roi.
Les quelques jours jusqu'aux noces royales passèrent vite, et Port-Réal se remplit encore plus avec les derniers arrivants.
Et enfin les festivités purent commencer.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 22:49

par Glasnost » il y a 10 mois
Jonos Tully, Maitre des Lois, Tour 9

https://www.youtube.com/watch?v=ynEOo28lsbc

Loin des cors de guerre sonnant dans le Val d'Arryn, la capitale profitait d’une paix renouvelée. Depuis longtemps déjà repeuplée, l'enceinte abritait quelques 420.000 âmes, et la civilisation renaissait après les incertitudes de la rébellion Feunoyr. Jonos était ravi d’avoir quitté la ville à l'époque, mais on ne pouvait nier que les événements ayant eu lieu dans la région allaient permettre de rendre cette paix plus durable. Harwyn était arrivé depuis deux ans déjà, et la ville avait considérablement changée : les bâtisses en construction étaient maintenant complètes et habitées. Le progrès qui avait été fait était tellement rapide qu’il semblait parfois irréaliste à l’œil de Jonos. Cela faisait plusieurs journées qu'il visitait la ville, mais malgré la douleur aux pieds, il était ravi de constater de l'étendue des travaux de son frère.

Il faisait nuit et le Maître des lois était en train de prendre des notes sur une de ses cartes de la région, actualisant ainsi les informations de sa carte pour mieux prévoir la suite du travail judiciaire. Le bruit des gouttes de pluie commença à frapper les parois de sa chambre, d’abord de manière saccadée avant de rapidement laisser place à un bourdonnement constant. Les exclamations des soldats en patrouille en contrebas se firent entendre, mécontents de devoir rester à l’extérieur par un tel temps, suivies par les bruits d’armures indiquant qu’ils s’en allaient chercher un abri contre le mauvais temps. Déconcentré un moment par le manque de sérieux de la Garde Grise, Aurfaur se recentra sur sa carte. Après la chute du Ménétrier et le dépeuplement qui avait suivit du côté Beurpuits, de nombreux chemins avaient démontré leur manque d'optimisation. Cependant, avec la reconstruction de Mur-Blanc et de Sombrelyn, de nombreux segments avaient été dégagés et d’anciennes routes commençaient à retrouver un entretien minime. Jonos y mettait de son mieux pour assurer la mise à jour de ses cartes, à partir des informations qui lui parvenaient par ses envoyés. Après avoir fini son travail il se coucha, la Lune était déjà bien haute dans le ciel. Le réseau mis en place par son frère était très efficace, et le remplacer en tant que Main du roi s'avérait considérablement plus simple que prévu.
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MessageSujet: Re: Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer   Tour 9 - La bataille de Chêne-en-fer Icon_minitimeMer 15 Nov - 23:16

par Glasnost » il y a 7 mois
Edmond Tully, héritier de Vivesaigue, Tour 9


La petite troupe s'achemina par un versant de colline, dévalant une pente herbue d'où dépassaient quelques ajoncs et racines tordues. La journée avait été pluvieuse et par delà les chênaies, une brume humide s'accrochait aux versants boisés, au loin, du côté de la Verfurque.
Cheminant les uns après les autres, à la file, comme un long serpent, les chevaliers et les sergents allaient, tous montés, et leur lance sur l'épaule.
Le port et l'assiette des cavaliers trahissaient, sous les capes et les manteaux de voyage fatigués, des harnois de plates et d'acier, parfois cabossés. Sur les chevaux de bât, derrières, que tiraient quelques jeunes écuyers : on pouvait apercevoir des lances d'arçon et des écus soigneusement recouvert d'une housse usée.
La troupe était sale et crottée. Et pour cause, elle voyageait ainsi depuis plusieurs jours.
Chevauchant quelques mètres devant, la troupe était conduite par un jeune homme à la chevelure auburn ondulant sur ses tempes et ses épaules. Pour toute armure, il n'avait revêtu qu'un simple gambison et une cotte de maille, sur lesquels il arborait un tabard élimé et décousu, brodé d'une truite sur champ bleu et rouge.
Quelques paysans s’arrêtèrent en les voyant, puis disparurent. Mais les cavaliers n'y prêtèrent guère attention. Au carrefour du royaume, le Conflans avait connu tellement de batailles que son petit peuple en était usé jusqu'à la moelle et aspirait plus que tout à la paix. Une usure qu'on pouvait lire à travers les visages rudes et ravinés, les faces marquées et les bouches parfois édentés de ces pauvres gens.
Parvenu en haut d'une colline, ils aperçurent enfin l'objet tant poursuivi de leurs recherches. Là, bâti à cheval sur la Verfurque s'étendaient les Jumeaux, formidable ouvrage dont les remparts de pierres et les tours protégeaient le siège de la maison Frey.
Le jeune chevalier caressa doucement la broche qui retenait sa cape, par dessus sa maille et maîtrisa d'une main sûre son destrier qui, visiblement excité par quelque bataille passée ou à venir, piaffait et bronchait nerveusement.
Resté avec les autres cavaliers à l'arrière, l'un des sergents s'avança. Vêtu d'un haubert de mailles et d'une cotte d'armes arborant elle aussi une truite, il tenait à disposition l'écu de son seigneur et maître, attaché à son bras, pour le protéger des horions. Son regard était sombre...

« Y'a guerre d'espoirs, vot'seigneurie... »

La voix d'Edmond sous son heaume, qu'il venait d'enfiler, résonna de façon dure et caverneuse derrière le bon acier.

« Par les sept enfers Dick, possèderais-tu la vervue ? Les dieux m'en préserve ! »

La voix était mal assurée, regretta aussitôt le damoiseau. Et le doute, peut-être, était palpable parmi ses hommes... Une bravade pour se donner du cœur au ventre. Ils ne pouvaient de toute façon plus reculer à présent. Lui, encore moins que les autres.
Fut un temps où son père avait lui-même planifié la main-mise de cette région par ses forces, pour faire barrage à son ennemi, lord Corbois. Ainsi qu'à son armée. Les nordiens étaient restés fidèles aux Arryn et la descente vers le sud d'une nouvelle armée aurait ruiné les espoirs de préserver leur région des partisans du Surintendant.
Lui-même était resté assez loin du combat, mais avait supervisé des opérations de guérilla... Une situation critique et des forces exténuées avaient eu raison de la volonté des Stark de franchir le Neck. Le court des événements fait parfois bien les choses.
Par son intervention soudaine à Goeville, Cédrick Corbois avait permis aux seigneurs du Conflans de marcher avec la bénédiction du Roi et des petits seigneurs. La Couronne et le Sud, quoi que pour des raisons différentes, avaient alors retiré leur soutien à la cause des Stark et de leur éminence grise.
Il ne faisait désormais plus de doutes pour grand monde, à présent, que la victoire des Frey n'était qu'une question de temps. Peut-être quelques semaines, avec un peu de chances.
Pourtant, les Stark s'obstinaient et semblaient bien décidés à ne pas plier le genoux. Pas devant Elston, en tout cas. Uther Manderly s'était enfermée dans Goeville avec des forces nombreuses et de quoi tenir un siège long. Les Royce et les Vanbois étaient restés attentifs à ses avances, et semblaient disposés à aller l'affronter sur le terrain. La guerre risquait de durer encore des mois avant que la suzeraine légitime du Val ne puisse retrouver son trône.
Une éventualité insupportable au jeune lord Tully, qui s'était juré de faire respecter l'honneur de sa famille en la demeure de ses aïeux... ceux d'Ambel. Peut-être était-ce aussi un peu un péché d’orgueil, qui caractérisait si rarement pourtant ce jeune homme fougueux. Il n'aimait pas Ambel, ni sa sœur.
Alors que tous parmi ses alliés célébraient la victoire prochaine, le jeune Tully ne supportait pas l'idée que sa famille risque sa vie pour des causes si triviales. Les Stark n'auraient jamais du s'obstiner ; dieu soit loué, ce n'était pas à lui de mener l'affrontement.

Tous, parmi les chevaliers, les sergents et les écuyers de la troupe, contemplaient impuissants le spectacle de pierre et de granit qui s'offrait à eux, là bas, dans la plaine et dont ils se trouvaient à présent à portée de vue des guetteurs. Et plus loin, sur la rive nord du fleuve, où s'alignaient des centaines de tentes et d'abris de fortune, parsemés de feux de camp.

Sonnant du cor devant la forteresse, l'ambassade se planta devant les portes du Pont et attendit - un brin d'inquiétude au ventre - qu'on vienne les y chercher. Ce qui ne tarda guère...
On fit d'abord monter les cavaliers à travers une série de portes et d'escaliers en colimaçon, tantôt étroits, tantôt larges. Puis on leur fit franchir la tour d'Eau, qui verrouillait à la fois le pont et la rivière. Enfin on les amena à l'extrémité du pont, devant le massif donjon de pierre sous lequel se situait l'accès au tablier.
Ils traversèrent l'enceinte de pierre et les douves, puis accédèrent une première salle, remplie d'hommes en tabards et en surcots et dont la plupart portaient la barbe et avaient le crane rasé. Tous portaient l'épée au côté. Là, les cinq compagnons patientèrent un instant sous des regards hostiles et la protection d'un intendant, avant d'être introduit dans une grande salle, devant le trône de chêne noir où siégeait lord Frey, entouré de ses vassaux.
Sanglés dans leur harnois d'acier, roidis par leur armure, les compères se fendirent d'une révérence légère.
- Seigneur Elston. Je suis venu avec les plans et les hommes que vous aviez requis.

Les Tully, comme les Tyrell de Hautjardin, n’avaient pas de sang royal. Ils n’étaient que des administrateurs, des vassaux supposément loyaux qui avaient su bénéficier d’un retournement de situation qui s’était depuis inscrit dans l’Histoire. Ni les Chenu, ni les Jardinier n’avaient survécu à la Conquête. Les dragons avaient tout balayé de leur feu mythique. Depuis, le Conflans était libre : une nouvelle région, créée à part entière, conçue pour faire ce qu’elle faisait depuis. Tenir un rôle : être la zone tampon entre ces grandes et puissantes régions souvent rivales qu’étaient le Nord, le Val et les Terres de l’Ouest tout en écrasant à jamais les revendications Fer-Nées sur ces terres. La conception de la région n’avait que trop bien été respectée. Les terres des Tully avaient été saccagées durant des siècles. Mais ce rôle était près de changer, grâce à des hommes comme Elston Frey et Auston Whent. Et pour chapeauter tout ce beau monde, quoi de mieux qu'un Tully ?
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Anarchnid

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